Ô mères,
votre odyssée périlleuse
oriente ma destinée heureuse
car ô combien, mères veilleuses,
vous aimez donner la berçeuse.

A vos enfants,
apportez l’amour
qui a fait votre parcours,
pour réunir enfin en vous
la source de vie éternelle, toujours.

Récompensez la vertue
du coeur vaillant.
Les éléments éclairent la vie
irradient l’harmonie
qui sourit au bonheur.
Pour un jour et éternellement,
l’art, mon nid.

Médium parfait, et fait mer
effets mères,
portez jusqu’au sein
l’enfant qui est le lien
à famille prospère,
unissant tous les siens
d’un anneau d’or peint.

Acqueuse et profonde
tes mystères cachent ta pureté,
précieuse, vivante, sacré, divinisée.
Infinité éphémère,
l’immortalité est coupe apparente.

Radieuse journée
où les oiseaux prient
un dieu comme eux
avec des ailes aussi.
Ils l’aiment, Elle,
la nature de l’amie protectrice et féconde,
d’elle à mari.

Bonne mer,
tes ondes peuvent t’emporter
dans de violentes colères,
lorsqu’en toi se déverse
et s’abreuve l’humain entier
qui ne voit pas sa mère.

Toutes les peurs,
longtemps refoulées,
au plus profond de ton sein,
tu as à les montrer.
Aujourd’hui, il est temps
que Gaïa s’éveille
et donne au présent la lumière nacrée.

Bleu Ô mer,
bleu sommaire,
sonne mer
la corne du moment qui vient
qui est celui de l’ère.
Eau, feu, air, terre
Miss terre d’éléments.

Mer démontre
l’usage imparfait des poubelles cachées
pour ne pas nous apeurer.
Pour elle,
Mères démontent
les conditions du mental ment
des usages passés,
nouvelles traditions céant.

Equilibre retrouvé
entre autre ici et la mer,
en son enfant allie
bonheur à la famille unie par le coeur
qui irradie son rythme,
harmonieux esprit.

Le monde changé
a retrouvé le sens du sacré
et la première, la mère, le maire,
vit le réseau des humains,
connectés comme une seule ville,
un seul quartier,
un seul foyer douillet.